A mon sombre paysage

Il me semble
Que je ne peux prétendre
A votre coeur
Or sincérement,
Je me retient à ne rien attendre
De vos faveurs

Mais puis-je garder l'image
De votre magnifique visage
Pour l'ajouter à mon sombre paysage?

Pourtant,il me semble
Que je ne peux prétendre
A votre coeur
Or sincérement
Je me retient à ne rien attendre
De vos faveurs

Mais puis-je faire des rêves si doux
De votre tendre bouche
Frolant mon affreuse joue?

Car il me semble
Que je ne peut prétendre
A votre coeur
Or sincérement
Je me retient à ne rien attendre
De vos faveurs

Le 26 avril 2010

Point de seize ans en automne

Bercée par un air monotone

Laissant ce gout d'antipathie

Pas de vrai ton à cette vie

Point de seize ans en automne

Dans l'attente de doux amours

Voulant cette béatitude

Assurée par l'incertitude

Pour l'instant , l'ennuie sont mes jours

Dans un paysage sans nuance

Parait certaines sensations

Or aucune des émotions

Ne présentent l'indépendance

Mais rien de la mélancolie

Tout, d'une musique atone

Point de seize ans en automne

Pas de vrai ton à cette vie

Le 6 juin 2010

La tourmente

Soudainement mon coeur se met en combustion
Or mes mots se meurent sur mon affreuse bouche
Mes pensées glissent sous d'abstraites sensations
Mes sentiments ne relevent rien de louche

Pourtant j'ai voulu éviter vos yeux bleus nus
Maintenant mon âme se vide de mes joies
Car selon moi,vous n'etiez pas un inconnu
En ce temps, mon coeur plonge dans le désepoir

Mon esprit s'enivre doucement de douleur
Etant tant dans l'attente et dans l'esperance
D'une de vos si douces,si tendres faveurs
Mais mon coeur se blesse dans votre ignorance

Souhaitant que votre coeur soit dans la tourmente
Priant que votre vos paroles se noyent dans le doute
Si je veux que vos pensées deviennent souffrante
C'est que simplement je sollicite le trouble

Sous mes écritures
Le 1 juin 2010